Sculpture bois d’un aigle royal
en vol
Cette sculpture d’aigle en bois est proposée à la vente, c’est une pièce unique jamais reproduite, tant le niveau de détails a exigé méticulosité et patience.
Pour respecter l’intention d’artiste, l’œuvre“ L’envol” devrait être accrochée à bonne hauteur. L’aigle royal domine et impose par ses dimensions : 120cm d’envergure, 90cm de hauteur (support compris) et une profondeur de 70cm.
Une sculpture photographiant
les premiers instants de l’envol
J’ai représenté l’oiseau dans son aire, ailes déployées, esquissant la 1re étape de l’envol. C’est un aigle royal, sa tête est tournée vers l’Est, fixant la source lumineuse des premières lueurs du matin.
Ses ramiges, ses ailes et sa queue se découpent dans le bleu infini du ciel. Ses ailes déployées, amples, donnent à la fois une impression de force et de légèreté.
L’envol de l’aigle est majestueux : transporté par les courants ascendants, il jette son regard sur les cimes et les pentes avec aisance, ne laissant aucune trace dans l’azur. Il fend l’air, se grise dans les courbes larges de son vol, jusqu’à ce qu’il repère une proie. L’aigle royal utilise alors son agilité, sa vitesse en piqué et ses griffes puissantes pour fondre sur sa proie…
J’ai voulu rendre hommage à la puissance de l’oiseau en sculptant minutieusement les serres robustes et pointues, véritable étau d’aiguilles recourbées et perforantes.
Un support racine
pour une sculpture d’oiseau
Bois neuf pour l’aigle, une souche d’arbre pour le support. Pour l’ensemble, j’ai choisi volontairement le bois d’orme, très résistant à l’eau. Il garde longtemps sa dureté et ses couleurs.
La racine d’arbre a séjourné plus de 20 ans dans l’eau. Le milieu aquatique a poli le bois, lui a donné sa couleur grise ; les vers d’eau douce ont grignoté les parties tendres du bois et ont laissés des traces ressemblant à des griffures.
La racine biscornue rappelle les matériaux rassemblés par les aigles dans leurs nids.
Un aigle avec quantité de détails
finement sculptés
Les ailes découpées, le rachis des plumes, et les barbes sur les lames montrent force détails. Les serres puissantes ont reçu le même souci du détail. L’arcade sourcilière prononcée, et la narine sur la cire – à la base du bec – intensifient le regard pénétrant de l’aigle.
L’aigle est prestige,
l’art et les civilisations l’ont adopté
Attribut de Jupiter, de Saint Jean l’apôtre, l’aigle décore des armoiries. Les grands puissants, empereurs et monarques des temps anciens l’ont attaché à leurs dynasties comme symbole de majesté, de puissance et d’œil omniscient. Il est “L’aiglon de Bartolomeo Pinelli” et le “Rapt de Ganymède” de Michel Ange.
Le Pygargue à tête blanche (Haliaeetus), un cousin éloigné de l’aigle royal (Aquila), a été érigé en emblème sur ses propres terres d’Amérique du Nord.
Il est son cri lorsque l’on prononce son nom “AIGLE”
