La deuxième origine est d’inspiration plus personnelle. Je me convie à participer à la fête de la vie, j’aime le corps sensuel de la femme, j’augmente l’expression de sa volupté.
Cette sculpture de femme dénudée, et son double, sont désormais à l’épreuve du regard des passants ; corps parfaits dans leurs imperfections, sensualité naturelle dans la beauté détachée de l’exactitude.
Les œuvres sont soyeuses, séductrices, suggestives, denses et divines.
Deux mots, deux essences d’arbres, deux finitions pour célébrer la femme bientôt offerte.